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« Que ton aliment soit ta première médecine » Hippocrate

Maladie d’Alzheimer, cancer, diabète, problèmes cardiovasculaires... Ces maladies de civilisation pourraient être largement évitées en changeant notre alimentation explique le Dr Béliveau, docteur en biochimie, directeur scientifique du laboratoire de médecine moléculaire et de la chaire en traitement du cancer à l'université du Québec à Montréal , rappelant le célèbre adage d’Hippocrate, il y a près de 2500 ans : « Que ton aliment soit ta seule médecine. » Au sein du laboratoire de médecine moléculaire qu’il dirige, le professeur canadien explore avec son équipe depuis plus de 30 ans les molécules des aliments et leurs vertus.

On sait aujourd’hui, grâce à des cohortes d’études populationnelles menées sur des dizaines de milliers de personnes que certains aliments réduisent les risques de maladies ou augmentent la survie suite à une maladie grave. En cardiologie, par exemple, un centre à Montréal suit les patients victimes d’infarctus : on les fait bouger et on les oriente vers le régime méditerranéen, réduisant ainsi leur risque de mortalité de 30%. Idéalement, suite à un cancer, on devrait se voir « prescrire » un régime anticancer. On sait, par exemple, que trois portions hebdomadaires de choux et de brocolis augmentent la survie de 60% chez les personnes ayant été touchées par un cancer de la vessie.

Un aliment qui perd inexorablement de sa substance.Toujours plus de production pour toujours moins de substances nutritives …

Savez-vous combien il faut manger de tomates en 2016 pour avoir la même quantité de micronutriments que dans une tomate de 1970 ?

Vingt et une, il vous faut manger 21 tomates si vous voulez avoir la même quantité de micronutriments que dans la tomate que vous avez peut-être mangée en 1970.

L'Agence d'aide à la coopération technique et au développement (ACTED, ONG française), Concern Worldwide (ONG irlandaise) et Welthungerhilfe (ONG allemande) et l’OMS ont publié un rapport qui alerte les pays industrialisés sur le phénomène de « faim invisible » qui touche 2 fois plus de personnes que la faim dans le monde, affaiblissant le système immunitaire et les facultés intellectuelles. Des conséquences sournoises, pernicieuses  reliées souvent trop tardivement aux véritables causes pour éviter que le mal ne soit causé.

Au-delà des conséquences sur la santé, L'Institut international de recherche sur l'alimentation, l'IFPRI considère que cette situation ampute le produit intérieur brut (PIB) de la plupart des pays développés de 0,7 à 2 %.

Dans des régions comme le Mississippi, on compte jusqu’à 88% d’obésité souvent par déséquilibre entre les macronutriments et les micronutriments. Au Canada, c’est désormais la moitié du budget de l’État qui doit être consacré à la santé. On assiste à une rupture de la transmission des connaissances culinaires entre mères et filles. Aujourd’hui, la ménagère américaine connaît moins de huit recettes de cuisine. Ce désert culinaire a été comblé par l’industrie agroalimentaire et la vague d’épidémies de santé dues à la malbouffe, au rythme de vie accéléré de nos sociétés modernes qui incitent à la consommation d'une nourriture rapide et prête à l'emploi. Graisses, sucres, adjuvants et colorants, pesticides, sont plus présents que jamais dans les alimentations et les pathologies se multiplient.

Et si la solution existait, si la nature fournissait déjà la nourriture du futur.

Un aliment déjà considéré par l’Europe comme un super aliment avec plus de 100 nutriments facilement assimilables capable de compenser toutes les carences en micronutriments auxquelles l’appauvrissement des sols, l’agriculture intensive, la mal bouffe et le rythme de vie toujours plus soutenu nous condamne.

La seule nourriture dont un Homme peut se nourrir exclusivement toute une année avec de l’eau sans présenter aucune carence.

Et si en plus, cet aliment ne venait pas mobiliser des terres arables, seules à même de nourrir une population toujours plus importante.

Et si en plus cet aliment était peu consommateur d’eau, 3 fois moins que le soja, 6 fois moins que le maïs, 50 fois moins que la viande de boeuf.

Et si en plus cet aliment ne nécessitait aucune déforestation et qu’elle séquestrait une grande quantité de dioxyde de carbone que l’activité humaine ne cesse de produire en brûlant les combustibles fossiles ou en produisant du ciment et en le transportant.

Ce serait le rêve, un parfum de bien-être qui s’exhalerait, une vrai challenge enfin relevé par nos pays industrialisés.

Ce rêve existe, il est à portée de main, contenu dans la spiruline, une algue qui a su résister il y a à peu près 3,7 milliards d’années, à une période où l’atmosphère de notre planète était peu susceptible de soutenir toute forme de vie, une algue qui a même permis de transformer un environnement hostile en une atmosphère riche en oxygène.

Le voyage de la spiruline a été long, parsemé d’obstacles en raison de l’environnement hostile dans lequel cette espèce a débuté son évolution mais aujourd’hui, après s’être diversifiée des millions de fois, s’être adaptée, avoir réussi à survivre et prospérer dans de nouvelles conditions environnementales la spiruline nous offre sa richesse intrinsèque et inégalée. Un vrai cadeau de la nature pour notre alimentation.

De nouvelles formes existent, fini l’absorption de poudres, de comprimés ou de gélules, des formes pré dispersées, aromatisées et prêtes à l’emploi existent. Des formes hautement assimilables issues des dernières technologies, qui facilite l'adhésion aux villosités intestinales pour une biodisponibilité des micronutriments renforcée.  

Notre corps est désormais armé pour vivre avec son temps.